Mr Mukuna tient à rappeler qu’il n’a pas "cassé la gueule d’Alain Soral"
Le 15 décembre 2011, suite à une tentative de médiation – initiée par Dieudonné et sans me concerter préalablement -, je me suis retrouvé face à Alain Soral, au milieu de la salle de spectacle du Théâtre de la Main d’Or, vide de tout public … Dieudonné était assis à mes côtés ; son garde du corps, installé à côté de Soral.
1) D’emblée, le gourou s’est permis d’aboyer plusieurs conneries édifiantes à mon encontre. Ceux qui ont pratiqué Soral hors caméras savent parfaitement qu’il est impossible de discuter avec cet autoritaire maladif qui ne respecte aucune des règles élémentaires fondant l’échange sérieux. A plus forte raison, lorsqu’il vous a identifié comme critique envers son discours et ses positionnements … Excédé par sa stupidité insultante, je me suis levé et lui ai dit fermement : "Viens, on va régler ça dehors à l’ancienne ! ". Il n’a pas bougé et s’est tu … J’ai réitéré mon injonction en hurlant ! A nouveau, Soral n’a esquissé le moindre mouvement.
2) Dieudonné m’a alors pris par le bras pour me rasseoir à côté de lui. Son garde du corps s’est momentanément interposé entre Soral et moi, craignant que je ne l’empoigne. Ce que je ne voulais pas commettre dans l’enceinte du Théâtre. Par souci évident de respect envers Dieudonné et d’une partie de son public, encore présente à l’extérieur. Sauf, bien entendu, si Soral avait osé me toucher. Ce qu’il a eu la "bonne idée" de ne pas faire tout au long de notre confrontation.
3) Dieudonné a ensuite imposé un temps de parole à chacun, avec interdiction d’interrompre l’autre. Après que je me sois exprimé – résumant ma lettre ouverte ayant déclenché chez Soral l’envoi, deux semaines durant, d’insultes racistes négrophobes sur mon téléphone et sur son profil FB -, Soral a commencé à parler. Calmement, puis de façon presque inaudible. Soudain, il a fondu en larmes …
4) Comédie stratégique pour éviter une correction méritée ou acte spontané de contrition dû à un trop-plein émotionnel ? Peu importe. Son "comportement" des plus pathétiques a fini d’évacuer ma colère. Autrement dit, ce pauvre type, autoproclamé "dissident" et "entraîneur de boxe", m’a fait pitié. Après cela, l’incident était clos.
5) Nous avons convenu que s’il n’y avait plus d’attaques mensongères et grotesques à mon endroit dans ses vidéos, il n’y aurait plus de réaction publique hostile de ma part contre lui. Larmes séchées, Soral m’a tendu la main pour officialiser le "deal". J’ai serré sa main, espérant qu’il tiendrait parole. Ce qui s’est confirmé jusqu’à ce jour. Tous les quatre, nous avons ensuite quitté la salle de spectacle pour rejoindre l’assistance encore présente au bar.
Voilà précisément comment notre altercation s’est déroulée et a pris fin. Devant deux témoins : Dieudonné et son garde du corps. Malgré mon injonction déterminée, Soral et moi n’en sommes pas venus aux mains. Ce qui, in fine, demeure préférable : l’opposition, même profonde et virulente, devant s’exprimer au travers du vrai débat contradictoire et pacifique.
Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais pas estimé pertinent ni informatif de relater publiquement cet épisode privé, vieux de près d’un an. Si je reconnais que le photomontage, partagé sur mon mur FB, m’a fait sourire, je constate aussi que se répand une rumeur selon laquelle j’aurais "cassé la gueule d’Alain Soral". Je suis donc contraint de rétablir, ici, la vérité sur le déroulement de cette altercation.
Ce qui n’enlève rien à mes profonds désaccords et critiques envers l’essentiel du discours manipulatoire de Soral. Critiques développées dans ma lettre ouverte et pour laquelle – un an et demi après sa diffusion – aucun élément d’infos, aucune contre-argumentation sérieuse n’est venu remettre en cause le moindre mot…
Enfin, pour les "durs de comprenure", ça ira peut-être mieux en le réécrivant : le racialisme, la hiérarchisation raciale et le néofascisme à prétention commerciale ne constituent pas des outils de résistance et de subversion politiques. Mais participent à pérenniser la domination criminelle des oligarques du Nouvel Ordre Mondial et de leur myriade d’exécutants opportunistes.
1) D’emblée, le gourou s’est permis d’aboyer plusieurs conneries édifiantes à mon encontre. Ceux qui ont pratiqué Soral hors caméras savent parfaitement qu’il est impossible de discuter avec cet autoritaire maladif qui ne respecte aucune des règles élémentaires fondant l’échange sérieux. A plus forte raison, lorsqu’il vous a identifié comme critique envers son discours et ses positionnements … Excédé par sa stupidité insultante, je me suis levé et lui ai dit fermement : "Viens, on va régler ça dehors à l’ancienne ! ". Il n’a pas bougé et s’est tu … J’ai réitéré mon injonction en hurlant ! A nouveau, Soral n’a esquissé le moindre mouvement.
2) Dieudonné m’a alors pris par le bras pour me rasseoir à côté de lui. Son garde du corps s’est momentanément interposé entre Soral et moi, craignant que je ne l’empoigne. Ce que je ne voulais pas commettre dans l’enceinte du Théâtre. Par souci évident de respect envers Dieudonné et d’une partie de son public, encore présente à l’extérieur. Sauf, bien entendu, si Soral avait osé me toucher. Ce qu’il a eu la "bonne idée" de ne pas faire tout au long de notre confrontation.
3) Dieudonné a ensuite imposé un temps de parole à chacun, avec interdiction d’interrompre l’autre. Après que je me sois exprimé – résumant ma lettre ouverte ayant déclenché chez Soral l’envoi, deux semaines durant, d’insultes racistes négrophobes sur mon téléphone et sur son profil FB -, Soral a commencé à parler. Calmement, puis de façon presque inaudible. Soudain, il a fondu en larmes …
4) Comédie stratégique pour éviter une correction méritée ou acte spontané de contrition dû à un trop-plein émotionnel ? Peu importe. Son "comportement" des plus pathétiques a fini d’évacuer ma colère. Autrement dit, ce pauvre type, autoproclamé "dissident" et "entraîneur de boxe", m’a fait pitié. Après cela, l’incident était clos.
5) Nous avons convenu que s’il n’y avait plus d’attaques mensongères et grotesques à mon endroit dans ses vidéos, il n’y aurait plus de réaction publique hostile de ma part contre lui. Larmes séchées, Soral m’a tendu la main pour officialiser le "deal". J’ai serré sa main, espérant qu’il tiendrait parole. Ce qui s’est confirmé jusqu’à ce jour. Tous les quatre, nous avons ensuite quitté la salle de spectacle pour rejoindre l’assistance encore présente au bar.
Voilà précisément comment notre altercation s’est déroulée et a pris fin. Devant deux témoins : Dieudonné et son garde du corps. Malgré mon injonction déterminée, Soral et moi n’en sommes pas venus aux mains. Ce qui, in fine, demeure préférable : l’opposition, même profonde et virulente, devant s’exprimer au travers du vrai débat contradictoire et pacifique.
Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais pas estimé pertinent ni informatif de relater publiquement cet épisode privé, vieux de près d’un an. Si je reconnais que le photomontage, partagé sur mon mur FB, m’a fait sourire, je constate aussi que se répand une rumeur selon laquelle j’aurais "cassé la gueule d’Alain Soral". Je suis donc contraint de rétablir, ici, la vérité sur le déroulement de cette altercation.
Ce qui n’enlève rien à mes profonds désaccords et critiques envers l’essentiel du discours manipulatoire de Soral. Critiques développées dans ma lettre ouverte et pour laquelle – un an et demi après sa diffusion – aucun élément d’infos, aucune contre-argumentation sérieuse n’est venu remettre en cause le moindre mot…
Enfin, pour les "durs de comprenure", ça ira peut-être mieux en le réécrivant : le racialisme, la hiérarchisation raciale et le néofascisme à prétention commerciale ne constituent pas des outils de résistance et de subversion politiques. Mais participent à pérenniser la domination criminelle des oligarques du Nouvel Ordre Mondial et de leur myriade d’exécutants opportunistes.